Voici donc la suite (tant attendue) du périple Barça - Roma qui se poursuit au cœur du Vatican, ou plutôt à son enceinte au vu de la foule amassée le long de la muraille dès 9h du matin. Ce, malgré l'ultime bénédiction du pape Benoit, seizième du nom, annoncée quelques heures plus tard.
Il n'est jamais trottoir pour bien faire. Mais par où incorporer cette foule indienne ?
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Après avoir fait une queue à en perdre la boule : Vatican Museums
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Sa belle collection de pièces égyptiennes (oui, c'est un alexandrin) |
Ses galeries remplies d'un nombre incalculable de bustes, on en perd la tête
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Son groupe du Laocoon
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Le plafond richement décoré
de l'impressionnante salle des tapisseries
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Les Corses, représentés la tête à l'envers
dans l'immense salle des cartes
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Pour l'œuvre raphaélienne, visionner sur Internet, la qualité n'en sera que meilleure
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Plus contemporain, une salle réservée au peintre Henri Matisse
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Jusqu'à la chapelle Sixtine où le silence nous est imposé
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Petit aperçu d'un des nombreux carrés de jardins vaticanais, vert de monde
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Avant de ressortir par le célèbre escalier en spirale
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Nous enchaînons ensuite sur l'arrivée de ma famille passée me rendre visite dans la capitale, pour la durée minimale indispensable : 1 semaine. Voici les clichés inédits des monuments ou endroits que je n'avais pas encore eu l'occasion de voir ou de publier.
Tout est paré, mais ceci n'est qu'un arrière-plan des longs préparatifs
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Premier jour : visite frusinate jusqu'à la tombée du jour
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Les hauteurs de la Villa Borghese plongeant sur la galerie d'art moderne
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Tout aussi glamour, dans les immanquables du parc : les tapis rouillants
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Ou encore : le baby baby-foot
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Et une horloge à eau, histoire de remettre les pendules à l'heure
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Romulus & Remus allaités (même en hiver) piazza del Popolo
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Le Vatican à peine vulgaire dans sa manière commode de dire qu'il s'en fiche
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Son jardin (qui vu que c'est le sien, n'est pas Le Nôtre) vu d'en haut
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A ceux qu'ont pas révisé leur liste des papes,
je vais leur faire l'apôtre
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L'Eglise à la veille du grand jeu des chaises monacales
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Le rouquin Tibre capturé
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Pour la bicyclette : rien à craindre, mais si je veux rentrer dans l'immeuble ?
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Et après n'allez pas dire que la police ne bosse pas
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Affluence record dans le métro, qui précipite la foule aux adieux du pape
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Le champ de ruines de Foro Romano ou Rome marqué d'une pierre blanche
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Mais ici tout n'est pas mort, quelques plantes rougent encore
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Attention fragile : la boule tout juste sortie du moule
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Un ananas géant aux jardins Farnèse,
premier jardin botanique d'Europe
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La tombe du soldat inconnu à l'Altare della Patria, surveillée 24h/24h
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A la chiesa del Gesù, le plafond se regarde
dans un miroir pour éviter le torticolis
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Et à 17h30 précises débute un impressionnant
spectacle de son et lumière
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Quand ces derniers jours ont été pluvieux, le Tibre vous tient au courant
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La lugubre crypte des capucins, on ne s'y est pas fait de vieux os
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Le genre de moto qu'on peut conduire avec la gueule de bois
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Le sublime et charmant cloître de la basilique des Quatre-Saints-Couronnés
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Pour terminer en bons thermes : petit aperçu du gigantisme de ceux de Caracalla
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Résumé kilométrique de cette semaine de marche :
1e Barca : 10,800 km
2e Barca : 12,000 km
3e Barca : 14,200 km
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Total Barca : 37,000 km
4e Frosi : 04,500 km
5e Rome : 13,300 km
6e Rome : 12,800 km
7e Rome : 06,900 km
8e Rome : 05,000 km
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Total Rome : 42,500 km
Soit : 79,5 km A PIED en 8 jours. J'étais pas fâché de reprendre les cours après ça ! Faut dire que ce sont surtout mes jambes qui étaient ravies de reparcourir les quelque petits 300 m qui séparent mon immeuble de l'Accademia. Et au retour en cours j'ai pu avec joie passer le premier examen de ce premier trimestre achevé dans une école italienne : en anglais.
Et ce test m'a plutôt réussi : note finale 28 sur 30 ! Thank you ! |